Au petit matin frisquet (à peine 5°) nous nous habillons devant le tunnel pour la descente lorsqu’une moto surgie de la bouche noire et inquiétante. Nous voici définitivement rassurés, le motard vient de Bucarest. Nous comprenons que le passage et la descente qui suivra ne poseront pas de problèmes. Frontale au front, nous nous engageons sur une faible pente et dans l’obscurité. Un km plus loin, c’est la sortie bouchée par un monticule de neige que nous franchissons sans encombre.
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Dans la descente, au niveau d'une cascade, nous croisons un couple en voiture dont l’homme tient absolument à partager les victuailles de la belle mère (fromage, gâteau et plat grecque) dans des quantités hors normes.
Plus bas, une couple de cyclistes québécois venant de Grèce et de Bulgarie monte tranquillement vers nous. Nouvel échange et nouveau partage des victuailles de la belle mère.
De ce coté ci, la route est nettement moins bonne avec des passages franchement mauvais et dans la vallée de nombreuses bosses qui cumulées fatiguent nos gambettes. La pause déjeuner se fera au bord du lac Vidraru à l’ombre de grands arbres et sous une brise rafraîchissante.
Arrivé au niveau des ruines de Poienari, le vrai château ou aurait vécu Dracula, je propose à Génia la grimpette des 850 marches pour y accéder mais la chaleur lourde la plombe quelque peu. Nous continuons donc jusqu’à l’ancienne capitale valaque Curtea de Argeş. La ville comporte d’étonnantes églises richement décorées que nous admirerons le soir en cherchant un resto. Mais c’est la gare qui par son extravagance pour une petite ville comme Curtea nous surprendra le plus.
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| Avec le couple de canadiens |
Plus bas, une couple de cyclistes québécois venant de Grèce et de Bulgarie monte tranquillement vers nous. Nouvel échange et nouveau partage des victuailles de la belle mère.
De ce coté ci, la route est nettement moins bonne avec des passages franchement mauvais et dans la vallée de nombreuses bosses qui cumulées fatiguent nos gambettes. La pause déjeuner se fera au bord du lac Vidraru à l’ombre de grands arbres et sous une brise rafraîchissante.
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| Le lac de Vidraru |
Arrivé au niveau des ruines de Poienari, le vrai château ou aurait vécu Dracula, je propose à Génia la grimpette des 850 marches pour y accéder mais la chaleur lourde la plombe quelque peu. Nous continuons donc jusqu’à l’ancienne capitale valaque Curtea de Argeş. La ville comporte d’étonnantes églises richement décorées que nous admirerons le soir en cherchant un resto. Mais c’est la gare qui par son extravagance pour une petite ville comme Curtea nous surprendra le plus.
